Sébastien Laudenbach au contact des lycéens et apprentis néo-aquitains
Le réalisateur de La Jeune Fille sans mains a rencontré du 5 au 8 mars les élèves néo-aquitains dans le cadre du dispositif Lycéens et apprentis au cinéma que coordonne ALCA sur l’académie de Bordeaux.
"Parfois les salles sont animées mais les lycéens et les apprentis sont les meilleurs publics pour appréhender ce type de film", explique Sébastien Laudenbach, quelques minutes avant de retrouver 173 élèves du lycée Jean Moulin de Langon. Après Oloron-Sainte-Marie, Nérac et Villeneuve-sur-Lot, le réalisateur de La Jeune Fille sans mains a achevé ce vendredi 8 mars à Langon et Ribérac une tournée des lycées et cinémas néo-aquitains dans le cadre du dispositif Lycéens et apprentis au cinéma, que coordonne ALCA sur l’académie de Bordeaux.
C’est au cinéma Les 2 Rio, dans le bourg langonnais, en Gironde, que les lycéens locaux ont visionné tôt ce vendredi matin La jeune fille sans mains avant d’interroger son auteur. Des intentions graphiques, musicales et scénaristiques, le public enchaîne les questions. Dessins à la main, le réalisateur, qui enseigne dans plusieurs écoles (à l'Ensad, l'École nationale supérieure des Arts décoratifs, à Paris ou à La Poudrière à Bourg-lès-Valence, par exemple), répond longuement à des élèves attentifs.
C’est au cinéma Les 2 Rio, dans le bourg langonnais, en Gironde, que les lycéens locaux ont visionné tôt ce vendredi matin La jeune fille sans mains avant d’interroger son auteur. Des intentions graphiques, musicales et scénaristiques, le public enchaîne les questions. Dessins à la main, le réalisateur, qui enseigne dans plusieurs écoles (à l'Ensad, l'École nationale supérieure des Arts décoratifs, à Paris ou à La Poudrière à Bourg-lès-Valence, par exemple), répond longuement à des élèves attentifs.
"C’est un projet que j’ai fait seul, sans storyboard."
Autre sujet abordé par les lycéens, la conception même du film interroge. Et pour cause : "C’est un projet que j’ai fait seul, sans storyboard", avance Sébastien Laudenbach, revenant ainsi sur la fabrication atypique de ce film "qui a coûté moins de 500 000 euros, loin des 20 millions d’Astérix ou des 15 millions de Zombillénium [soutenu, à l’instar de La jeune fille sans mains, par la Région Nouvelle-Aquitaine, ndlr]".
Questionné sur ses projets à venir, Sébastien Laudenbach évoque son prochain film, "pour les enfants", Linda veut du poulet !, qu’il coécrit et coréalise avec sa compagne Chiara Malta. Une comédie burlesque, soutenue au développement par la Région Nouvelle-Aquitaine, qu’il a d’ailleurs pitché ce mercredi au Cartoon Movie, "forum européen de référence du cinéma d’animation", qui s’est tenu à Bordeaux.
Questionné sur ses projets à venir, Sébastien Laudenbach évoque son prochain film, "pour les enfants", Linda veut du poulet !, qu’il coécrit et coréalise avec sa compagne Chiara Malta. Une comédie burlesque, soutenue au développement par la Région Nouvelle-Aquitaine, qu’il a d’ailleurs pitché ce mercredi au Cartoon Movie, "forum européen de référence du cinéma d’animation", qui s’est tenu à Bordeaux.
"Une semaine de transmission au contact de plus d’un demi-millier de lycéens et apprentis néo-aquitains."
Autant d’informations, précieuses pour des lycéens intéressés par la vie d’un film, que Sébastien Laudenbach a ensuite apportées aux élèves du lycée Arnaut Daniel de Ribérac, en Dordogne. Et d’achever ainsi une semaine de transmission au contact de plus d’un demi-millier de lycéens et apprentis néo-aquitains.